S’alimenter correctement

Bien qu’une prise de masse musculaire entraîne toujours l’accumulation de quelques graisses, ces dernières seront en quantité raisonnable si vous faites attention à votre alimentation. Par ailleurs, même si la protéine est la macromolécule à privilégier, les glucides, les lipides et les fibres végétales sont toujours nécessaires pour rester en bonne santé. Dans le cas où vous auriez des difficultés à gagner en masse, l’utilisation de gainer est une bonne idée.

Les gainers sont des produits tout-en-un qui apportent tous les nutriments et éléments nécessaires à une prise de masse. Ils se présentent sous forme de poudre à mélanger avec un liquide. Les gainers sont, de ce fait, faciles à utiliser et vous évitent de perdre du temps dans la préparation de divers aliments à la fois pour réussir votre prise de masse.

Lorsqu’elles sont bues, les calories sont par ailleurs plus facilement assimilées par le corps. Malgré tout, sachez que les gainers ne constituent pas une alimentation complète. Si vous consommez uniquement ce type de produit durant la prise de masse, votre alimentation ne sera pas de bonne qualité.

S’entraîner convenablement

La prise de masse ne repose pas uniquement sur l’alimentation. Vos muscles doivent travailler dur pendant les entraînements afin qu’ils puissent devenir plus volumineux. En effet, chaque fois que les fibres musculaires sont endommagées suite à un entraînement intensif, elles sont réparées et renforcées, ce qui permet au passage de tonifier votre corps. Les muscles gagnent ainsi en volume et deviennent capables de stocker davantage d’énergie.

Lors d’une prise de masse, les exercices de base ou les exercices polyarticulaires sont les plus recommandés. Ils permettent en effet de faire travailler un grand nombre de muscles à la fois, ce qui permet de profiter d’un gain de masse musculaire plus homogène. D’autre part, l’intensité de votre entraînement devra se centrer sur la surcharge progressive.

Au lieu d’effectuer plus de répétitions à chaque exercice, focalisez-vous sur l’augmentation progressive des charges que vous utilisez. D’autre part, pensez à bien vous hydrater pendant les entraînements.

S’offrir suffisamment de repos

Le processus de construction des muscles après l’entraînement se fait d’une manière lente. Elle ne peut également avoir lieu que lorsque le muscle est au repos. C’est pourquoi vous devez vous accorder du temps mort en dormant suffisamment la nuit. Il est également nécessaire de s’octroyer au moins deux jours de pause et d’arrêter tout entraînement musculaire pendant la semaine. Des muscles trop malmenés et qui n’ont pas le temps de se renforcer risquent de se dégrader.

Au lieu de gagner du muscle, vous allez en perdre. D’ailleurs, lorsque la fatigue s’accumule, vous n’aurez plus suffisamment de force pour mener à bien vos entraînements. Si vous êtes un débutant, il est plus sage de consulter un professionnel qui pourra vous aider à mettre au point un emploi du temps adapté à votre niveau et à votre rythme de progression.

Une discipline loin d’être anodine

Ultra-tendance, la méditation est désormais omniprésente. Elle s’infiltre partout, dans les hôpitaux, les clubs de gym, les entreprises et même dans les écoles. La méditation semble être devenue une règle, presque une injonction au sein de la société. Quelqu’un qui ne se livrerait pas à la méditation se rendrait presque coupable de crime. C’est ainsi que cette discipline s’est généralisée à une vitesse fulgurante. Seul, avec les conseils de comment-mediter.info ou lors de séances collectives, chez soi, dans la rue ou au bureau, vous pouvez pratiquer la méditation en toute facilité. Personne ne peut donc dire qu’elle n’a pas le temps ou l’énergie de la pratiquer. Elle ne nécessite aucun outil, aucun investissement.
La méditation est bénéfique, pour le cerveau, pour le corps, pour la santé en général. Mais ne présente-t-elle que des bienfaits ? Ceux qui ont une facilité pour méditer connaissent quand même des déconvenues. On pourrait se demander pour quelles raisons ? Il semblerait que la méditation ne soit pas aussi accessible et aussi anodine qu’on le croit. Selon certains initiateurs en méditation, ni une séance via YouTube ni dans le cadre de séances en groupe n’est inoffensif à 100 %.

Quels risques encourt-on à méditer ?

Pour comprendre en quoi la méditation peut être dangereuse, il faut comprendre le principe de sa pratique. En effet, cette discipline consiste à délivrer ses souffrances, apprendre à maîtriser ses émotions et à accueillir sa propre vulnérabilité. Pour parvenir à ces objectifs, il faut un lâcher-prise important, profond. Or, cela implique de lâcher ses défenses psychiques. Pour certains, cette action pourrait faire resurgir des traumatismes ou des souvenirs douloureux enfouis en eux depuis de longues années. S’ils n’ont pas été suffisamment préparés à ces réminiscences, l’effet sera peut-être le contraire de celui escompté. Certaines personnes ont ainsi dû revivre des expériences malheureuses qu’ils ont mis tellement de temps à oublier. La méditation, au lieu de les aider, les a de nouveau plongés dans les affres de ces traumas. C’est surtout ce qui arrive à ceux qui ont subi une maltraitance physique dans leur enfance, un viol, etc. Si vous avez eu un vécu aussi traumatisant et que vous voulez vous mettre à la méditation, trouvez un enseignant qui peut vous préparer, vous accompagner convenablement, mais surtout vous enseigner la méthode la plus adéquate par rapport à votre situation.

Des équipements sûrs et bien encadrés

Quel que soit le type de matériel utilisé lors d’une escalade, il doit être soumis à une vérification stricte. Chaque élément est contrôlé suivant des normes établies qui permettent de limiter les chutes ou de se protéger contre les avalanches de pierres. Par ailleurs, ces équipements doivent être individuels et adaptés à la morphologie du grimpeur. De ce fait, chaque élément devra passer par l’approbation du CEN ou Comité Européen de Normalisation pour l’Europe, avant d’être mis sur le marché, commercialisé et utilisé. Par ailleurs, dans la pratique, il est également nécessaire de suivre les règles imposées par la Fédération française de la montagne et de l’escalade qui a défini les consignes pour assurer la sécurité des grimpeurs et pour que la pratique soit encadrée au maximum.

Les principales consignes de sécurité en escalade

Avant l’escalade, il est nécessaire de vérifier quelques éléments. Cela concerne entre autres, la corde et les nœuds qui sont attachés au mousqueton. Il faut contrôler la solidité du nœud et vérifier que le vis est bien serré. La corde à grimper doit également être bien solide et en très bon état. Rien ne devrait apparaitre comme étant fragile ou pouvant se casser en cours d’escalade. Ensuite, il est nécessaire de voir si le baudrier est bien fixé et si le nombre de dégaines permet d’arriver à destination. Durant l’escalade, le grimpeur évitera de monter directement après ou avant un autre pratiquant. Il est également préférable de choisir des pistes faciles en détectant les trajets où il sera plus aisé de descendre. Enfin, toujours prendre soin de tenir la corde qui sert de frein, surtout durant la descente.

L’ergonomie et le design

A l’origine, la montre GPS est un équipement sportif. Mais certains veulent qu’elle soit également la montre qu’ils portent à leur poignet tous les jours. Les clients, vu le prix de cet équipement, exigent qu’il soit pratique et bien sûr fonctionnel. Des modèles ont été ainsi confectionnés pour satisfaire les besoins de tout un chacun : matière en plastique, légère, pour les grands sportifs ; écran tactile pour les randonneurs extrêmes ; waterproof pour les nageurs…

La marque

Comme pour tous les équipements sportifs, il y a des marques qui ont fait leur renommée dans les montres GPS. Ici, on ne parle pas de Rolex ou de Louis Vuitton. Les plus grandes marques connues sont Suunto et Garmin. Mais à côté d’elles, Nike, TwoNav ou encore Polar font leur ascension. Toutefois, les fonctionnalités peuvent différer selon la marque de la montre GPS.

Les fonctionnalités disponibles

Les fonctionnalités proposées par la montre GPS dépendent souvent de la discipline pratiquée : cyclisme, course, natation, etc. Généralement, la montre dispose d’un moniteur de fréquence cardiaque, d’un accéléromètre pour mesurer la distance parcourue (en pas ou en mètres). Certains modèles mesurent également les calories dépensées, grâce à l’estimation de la VO2 maximum, soit le volume d’oxygène débité durant la course. La montre GPS peut également améliorer la performance grâce à l’option Virtual Partner, qui crée pour vous un adversaire virtuel, ou encore l’entraînement avancé, qui détermine des objectifs à atteindre.

Les sous-vêtements idéaux pour l’hiver

Les sous-vêtements sont essentiels en hiver pour rester bien au chaud. Pour cela, vous pouvez choisir un collant en microfibres de laine qui est presque invisible, mais très confortable. Les habitants des pays nordiques et les amateurs de randonnée d’hiver le connaissent bien.

La couche isolante

Pour rester au chaud en hiver, trois couches de vêtements sont essentielles, dont les sous-vêtements, la couche isolante et la couche imperméable. Ici, parlons uniquement de la couche isolante. Vous pouvez opter pour un vêtement tricoté en coton ou en laine qui est très agréable à porter et qui ne risque pas de transpirer. Les vêtements à plume feront aussi l’affaire. Vous pouvez donc opter pour un pull en laine, un gilet matelassé ou un pull en cachemire.

La couche imperméable ou coupe-vent

Il s’agit de la couche externe, celle que tout le monde voit. Ainsi, il faut qu’elle soit à la fois imperméable et élégante. Vous pouvez par exemple opter pour un pull en coton huilé, un blouson fait de polyester en microfibres, un blouson cuir, un blouson aviateur, un manteau en laine, etc. Pour le design, il faut qu’il soit intemporel et polyvalent. Pour la couleur, les plus simples en hiver restent le gris, le bleu marine, le beige ou le kaki. Parmi les vêtements chauds, isolants et confortables que vous pouvez adopter, il y a les mailles, les cardigans, les pull-overs et les vestes matelassées sans manches comme la doudoune sans manche homme qui est très tendance et qui est très pratique. Enfin, pour les pantalons, la laine reste l’idéal, que ce soit un cargo, un slim ou une patte d’éléphant.

Les autres accessoires

D’autres accessoires sont essentiels pour rester chaud en hiver. Il y a notamment les bonnets, les bérets et les casquettes qui permettent de protéger la tête du froid. Pour la matière, la laine demeure la plus recommandée. Puis, il y a les écharpes qui permettent principalement de protéger la gorge du froid. Pour cela, vous pouvez choisir une écharpe en laine, en soie ou en cachemire. Pour les couleurs et les motifs, vous pouvez les choisir selon vos goûts, il suffit seulement qu’ils s’harmonisent avec le reste de la tenue. Finalement, il y a les gants qui sont indispensables en hiver. L’idéal est d’opter pour le cuir de chèvre, la laine, le cachemire, la soie ou une doublure en fourrure.
N’oubliez pas, pour acquérir ces vêtements, vous pouvez gagner du temps en faisant votre shopping en ligne. Il vous sera aussi plus facile de comparer les prix et de trouver des offres promotionnelles.

Quels sont les avantages de l’utilisation d’un vélo elliptique ?

Le vélo elliptique fonctionne de la même manière qu’un tapis de course. Ainsi, il est possible de contrôler la vitesse, l’allure, la fréquence cardiaque, le degré de résistance et le nombre de calories dépensés avec un vélo elliptique. Le principal avantage d’un vélo elliptique comparé à un tapis de course est la valeur de la dépense énergétique réalisée pendant un laps de temps.  Le vélo elliptique permet de brûler beaucoup plus de calories, donc il permet de perdre du poids plus rapidement. Cette dépense énergétique élevée s’explique par la possibilité de pouvoir varier l’endurance et forcer les muscles à entretenir une certaine cadence. L’autre avantage de cet appareil est qu’il permet de consolider plus de muscles sans entraîner des dégâts articulaires et musculaires. Grâce à tous ces avantages, le vélo elliptique est adapté à un public plus large tel que les marathoniens, ceux qui ne sont pas amateurs de courses à pied et qui veulent brûler des graisses rapidement, ainsi que les individus désirant se remettre en forme après une fracture du genre tendinite rotulienne ou fracture de stress.

Comment utiliser un vélo elliptique ?

Le vélo elliptique est un appareil facile à utiliser qui se présente sous différentes formes. Pour savoir comment choisir son vélo elliptique, il faut tenir compte de son budget, de la structure du vélo, de l’amplitude de pédalage, du système de freinage, du confort d’utilisation, etc. Et pour utiliser un vélo elliptique, il suffit en général d’allumer la machine, de configurer un entrainement ou de choisir un mouvement prédéfini, puis de changer les réglages selon les besoins, l’aisance physique et l’objectif. Il faut seulement savoir que plus on augmente la vitesse et la pente, plus les calories brûlées sont élevées.

Le vrai rendement du vélo aquatique

L’aquabiking est la forme d’aquafitness la plus efficace. Pratiqué comme un passe-temps plutôt fun, il donne des résultats si vous avez des calories à perdre. Après quelques séances d’effort modéré, vous en ressentirez les effets : votre corps se raffermit tandis que votre silhouette s’affine. Agissant sur la quasi-totalité du corps, sur les membres inférieurs entre autres, ce sport de vélo aquatique permet d’éliminer les cellulites, puis d’obtenir les cuisses et les fesses musclées et bien soutenues. Vous serez stupéfaite de son action sur la peau. En effet, pédaler dans l’eau fait disparaître la peau d’orange. L’aquabike présente aussi des bienfaits pour votre santé cardio-vasculaire. Enfin, il s’agit d’une pratique peu traumatisante pour le corps. Vous n’éprouvez pas trop l’effort grâce aux massages effectués par l’eau, les risques de blessures sont réduits à néant et les courbatures sont quasi-inexistantes.

Des contre-indications à respecter

Bien que l’aquabiking se veuille être une discipline ouverte à tous, l’accès y est quelque peu limité. Outre la longue liste d’attente dans les centres, certaines restrictions pour des raisons de santé sont à considérer. En effet, comme l’aquavélo augmente le rythme cardiaque, il n’est pas recommandé aux personnes souffrant d’insuffisance cardiaque ou pulmonaire. Les contractions musculaires à effectuer le rendent tout aussi déconseillé pendant la dernière phase de grossesse lorsque le col de l’utérus est en voie d’effacement. Les personnes sujettes à de l’hypertension artérielle, à une allergie au chlore et aux troubles vénaux devront faire attention. En tout cas, un certificat médical de non-contre-indication est requis pour l’aquacycling.

Les signes qui alertent d’un coup de chaleur

Sous une grande chaleur, le sport, s’il est « trop intense », peut faire augmenter la température interne du corps jusqu’à 43°C, alors que la normale est de 37°C. Il est donc difficile pour l’organisme de réguler cette température, avec d’ailleurs la déshydratation qui l’accompagne. Certains signes « annonçant » un coup de chaleur peuvent alors survenir. Il s’agit notamment :
– de maux de têtes,
– la peau qui rougit,
– la chair de poule ou des frissons,
– des nausées pouvant être accompagnées de vomissements,
– un trouble de la vision,
– et bien évidemment une grosse fatigue.
Si la personne ne s’arrête pas tout de suite et si elle ne bénéficie pas des soins nécessaires, il y a alors perte de connaissance, et cela peut même aller jusqu’au décès.

Les précautions pour éviter le coup de chaleur

Tout d’abord, il est déconseillé de pratiquer du sport, notamment intense, si la température extérieure se situe au-delà de 35°C. Dans tous les cas, il faut observer régulièrement des pauses et se rafraîchir. Par rapport à la tenue, le mieux c’est d’éviter les vêtements trop collants, ou dont la matière qui les constitue ne permet pas une bonne « respiration de la peau » et la transpiration, le coton étant l’idéal. Par ailleurs, il est conseillé de privilégier les couleurs claires, ne retenant pas la chaleur.

Comment se déroule le saut ?

Le départ commence à bord d’un avion. Pendant ce temps, les parachutistes profitent de faire toutes les préparations nécessaires à leurs sauts. Les vérifications des équipements se font au point d’embarquement. La montée dure au minimum 15 minutes et le départ du saut se déroule à 4000 à 4500 mètres d’altitude. Afin d’éviter les accidents en plein vol, il faut donner une séparation de temps entre chaque départ des parachutistes. L’ouverture du parachute s’effectue par une seule poignée de main. Le moment le plus crucial reste l’atterrissage. Il est important d’avoir la maîtrise des deux poignées de commandes.

Les risques du parachutisme

Comme tout sport à risque, le parachutisme et très dangereux. Même si le risque d’accident lors du parachutisme est assez négligeable par rapport aux autres types de sports extrêmes, les chocs et les chutes sont mortels pour notre corps. Le comportement et la pratique du sport sont importants pour éviter cela. Toutefois, cette activité est un loisir. Il ne faut donc pas s’en priver. Il faut plutôt le pratiquer avec prudence.

Les procédures de secours

Les procédures de secours sont très importantes en matière de parachutisme, car les risques d’accident mortel peuvent surgir à tout moment. Comme l’ouverture d’une voile de secours qui se fait manuellement à l’aide d’une procédure à suivre ou bien automatiquement par un déclencheur de sécurité. De ce fait, un extracteur se propulse et tout contrairement au voile principale, le voile de secours s’ouvre plus rapidement. Son inconvénient s’est que son repliage peut prendre beaucoup de temps.